Pérou : 2023 continuera-t-elle d'être une année difficile pour les myrtilles fraîches ?

2023 pourrait être tout aussi complexe que 2022 pour la myrtille fraîche péruvienne, qui n'est qu'à quelques mois de boucler sa campagne. Cela est dû aux principaux effets sur les marchés causés par les conflits à l'étranger. Au cours de la première semaine de 2023, 4,708 28 tonnes ont été exportées, ce qui représente une baisse de 301,389 % par rapport à la même période la saison dernière. Malgré cela, à ce jour, le Pérou a exporté un total de 27 XNUMX tonnes, soit XNUMX % de plus que la saison précédente.
L'un des principaux objectifs cette année est de pouvoir doubler les expéditions vers certains endroits où la myrtille péruvienne n'a pas autant de participation, Israël étant l'un des principaux pays. De même, l'attention a été portée sur le marché asiatique, où l'ouverture de pays comme l'Indonésie et la Corée du Sud est recherchée. Jusqu'à présent cette saison, la principale destination de ce produit a été les États-Unis, avec une part de marché de 55 %, suivis des Pays-Bas, avec 25 %.

Quant au marché nord-américain, il a reçu 165,668 54 tonnes de myrtilles péruviennes. 45% sont partis du port de Paita et 75,488% par Callao. Quant aux Hollandais, ils ont acquis XNUMX tonnes, et ils les ont reçues des mêmes points que les Américains.

Concernant les entreprises péruviennes exportatrices de ce fruit, celle qui reste en première place est Camposol SA, avec une participation de 15%. Cette société a expédié 65% de toutes ses expéditions via le port de Callao.

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